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4 août 2014

E-commerce et Sites de contenu, vers une convergence des business models ?

J'ai la chance d’être impliqué dans deux startups remarquables qui m’amènent à travailler quotidiennement aussi bien avec des sites médias (et des sites de contenus) que des sites e-commerce et il m'appairait de plus en plus évident qu’une convergence des problématiques de ces acteurs est en train de s’opérer et que cela peut même mener à une convergence des deux modèles économiques …






1) Les sites médias toujours en recherche d’un modèle économique :

L’arrivée d’Internet a fait très mal à la rentabilité des Médias traditionnels. Peu nombreux sont les acteurs historiques qui ont réussi  à l’heure actuelle à générer des revenus équivalent à ce qu’ils faisaient à la grande heure du papier tant en matière de recettes publicitaires que de modèles payants. Les pures players plus agiles ont été les premiers à tirer leur épingle du jeu en réussissant à créer des audiences importantes avec des équipes plus réduites que leurs homologues brick and mortar mais même ces derniers cherchent eux aussi des solutions pour mieux monétiser leur trafic que par la seule publicité car la production de contenus de qualité coûte cher
.

2) Les sites e-commerce toujours en quête de plus de contenus de qualité


Même s’il n’y a jamais eu autant de sites e-commerce en ligne, il s’opère une vrai concentration des acteurs sur ce marché. Le TOP 50 des sites marchands trust la majorité des premiers résultats de Google sur des requêtes stratégiques et pour obtenir un bon référencement il faut créer des fiches produits au contenu de plus en plus détaillés et markétés. Même en passant par du référencement payant, la qualité du contenu reste nécessaire pour obtenir un bon taux de transformation de la part d’internautes en quête d’informations de plus en plus exhaustives, contextualisées voire personnalisées sur les produits proposés ! Il coûte donc de plus en plus cher de créer du trafic ce qui rend difficile de créer des activités e-commerce rentables.



Vous commencez à voir où je veux en venir ? ;)

3) E-commerce et grands sites médias convergent sous l'impulsion de grands groupes


Puisque que les équipes des sites marchands sont à la recherche de trafic et de contenus de qualité et que les sites médias cherchent à rentabiliser leurs équipes de rédaction et leurs audiences il y a une convergence des intérêts des sites médias et des sites de vente en ligne.
De grands groupes Médias ont bien compris cela : je vous invite ainsi à lire cet article http://www.chaire-convergences.info/actualites/conde-nast-investit-dans-le.html  qui montre comment CondeNast un géant des médias déploie une stratégie e-commerce.


Cela est loin d'être un cas isolé, en France on peut également citer Meninvest qui propose différent Médias mais aussi une activité e-commerce avec Menlook notamment ou encore ou webedia qui investit fortement dans le e-commerce notamment au Moyen Orient...




Bien-sûr créer un médias et créer un e-commerce sont deux activités complètement différentes et des groupes Médias comme Lagardère ont eu de mauvaises expériences en tentant l’aventure de l’e-commerce (http://www.bfmtv.com/economie/exclu-bfm-business-lagardere-arrete-activite-e-commerce-807047.html) mais pour moi cette stratégie est réellement prometteuse. 

En effet, lorsqu’on est un site média, pourquoi se contenter de demander quelques euros à un annonceurs pour générer une vente sur son eboutique si on peut posséder cette eboutique et capter ainsi l’ensemble de la marge ? En utilisant des solutions technologiques e-commerce adaptées, et avec des approches pragmatiques, je suis persuadé que de nombreux médias pourraient créer des activités e-commerce rentables en complément de leurs revenus publicitaires !



Et vous qu’est-ce que vous en pensez ?



24 avr. 2013

Business Model ecommerce : Peut-on encore lancer un e-commerce rentable en 2014 ?

Business Model ecommerce : Peut-on encore lancer un e-commerce rentable en 2014 ?
Selon la FEVAD, sur la période octobre - novembre 2012, « près de 2 internautes sur 3 (65,1%) auraient consulté, en moyenne chaque mois, au moins un des sites du Top 15 e-commerce. Au total, ce sont en moyenne 28,9 millions d’internautes qui ont consulté un de ces sites au cours de cette période ».

En parallèle de ces mastodontes bien implantés, et  toujours selon la FEVAD il y aurait plus de 110 00 e-commerces seraient actifs en France et un nouveau serait créé toutes les 30 minutes !

Devant tant de concurrence est-il encore possible de faire sa place et d’ouvrir un e-commerce rentable en France ? Y-a-il un Business Model à privilégier? 

Il me semble que nombre de porteurs de projets souhaitant se lancer dans l’e-commerce prennent les choses à l’envers. Pour la plupart d’entre eux, la tentation est forte de foncer tête baisser sur la création d’une magnifique e-boutique au design ultra-personnalisé qu’ils seront fiers de montrer et qui impressionnera (selon eux) les internautes.
Tout d’abord « esthétique » ne veut pas toujours dire « efficace » dans l’e-commerce mais bon passons, si vous choisissez une agence compétente vous serez surement guidés pour suivre les bonnes pratiques et offrir une expérience utilisateur agréable, penser à prévoir des éléments de réassurance, etc. Quoi qu’il en soit, se lancer dans la création un site de vente en ligne sur mesure de qualité prend énormément de temps (on peut compter parfois entre 5 mois à plus d’un an de la rédaction du cahier des charges à l’intégration) et représente donc un investissement important (de 5000 à plusieurs K€).
Voilà qu’enfin l’e-boutique est en ligne, le porteur de projet va pouvoir réellement se confronter au marché et voir si son catalogue produit intéresse, s’il arrive à se positionner en termes de prix vis-à-vis de concurrence, … et bien NON ! En effet même avec un grand nombre de références, un design aux petits oignons et même en ayant pris soin d’optimiser ses fiches produits pour le SEO : le référencement naturel demandera inéluctablement du temps, un temps incompressible !
Pour amorcer la pompe et commencer à obtenir un volume de trafic (et éventuellement de commandes) substantiel, la plupart du temps il sera nécessaire de dépenser un budget Adwords conséquent : que l’e-commerçant décide de gérer seul ses campagnes ou de confier son budget à des spécialistes il y a toujours là aussi un coût du clic minimum (puis d’acquisition) incompressible.

Le problème avec cette approche c’est donc qu’il va donc falloir énormément de trésorerie à l’e-commerçant pour pouvoir, sans parler d’espérer faire ses premiers bénéfices, au moins  tenir le temps d’atteindre le point mort.
En outre ce n’est qu’après une longue période de mise en place puis un investissement publicitaire important que le porteur de projet va pouvoir réellement se confronter au marché. Or le e-commerce est avant tout du commerce, aussi le premier élément pour réussir c’est de vendre le ou les bons produits au bon prix, et cette réalité est exacerbée sur internet où le consommateur peut facilement comparer les prix de dizaines de concurrents en quelques clics.

Très bien mais qu’est-ce que vous proposez mon bon monsieur ?

Pour moi, en 2013 tout porteur de projet souhaitant se lancer dans l’e-commerce devrait se lancer immédiatement dans une stratégie multicanal !
« Ok donc vous dîtes que c’est trop long de lancer une e-boutique et vous me conseillez donc de me lancer en parallèle sur eBay, Amazon, PriceMinister... ? »
Attention, j’ai dit qu’il était long et coûteux de lancer une eboutique sur mesure qui génère du cash ! Pour moi mieux vaut lancer une eboutique simple mais efficace que vous optimiserez au fil du temps (en réinvestissant une partie de vos revenus à cette fin) et vous lancer immédiatement, en parallèle, dans la vente en ligne via les places de marché au moyen d’outils appropriés (que je vous présenterais plus bas). En effet, les marketplaces constituent des carrefours d’audience considérables où vous pourrez immédiatement vous confronter au marché pour tester vos produits, affiner votre politique de prix.
De façon plus pragmatique encore c’est là que vous pourrez plus rapidement générer un volume de commandes et donc de chiffre d’affaire important. Certes vos marges sont plus réduites sur les places de marché qui vous prélèvent des commissions mais le volume est indispensable pour parvenir à négocier des prix d’achats et assurer la rotation de vos stocks.
En rejoignant les places de marché, vous bénéficiez des investissements marketing consentis par ces géants. Pour être concret, en référençant vos produits sur les places de marché il est probable que ceux-ci se voient indexés par des comparateurs de prix, relayés via des programmes d’affiliation et même qu’ils fassent l’objet de campagnes de retargeting publicitaires : autant de dispositifs que vous auriez difficilement mis en place seul (au moins dans un premier temps) !
Est-ce à dire que les places de marché n’ont d’intérêt que pour les petites structures ou les e-commerces en phase de lancement ? Pas du tout. On peut considérer les commissions et frais liés aux places de marché comme des dépenses de marketing à la performance. S’ils sont bien monitorés ces investissements peuvent s’avérer très rentables y compris pour des grosses structures.

Mais alors à quoi bon créer une eboutique, pourquoi ne pas se contenter de vendre sur les places de marchés?

Il est toujours dangereux de dépendre d’un seul distributeur, demandez à Appgratis... vous êtes soumis aux conditions d’utilisation des marketplace et à leur évolution qui du jour au lendemain peuvent ne plus être compatibles avec votre activité. De plus sur les places de marché vous pouvez être en concurrence directe avec d’autres vendeurs proposant le même produit que vous ce qui a tendance à tirer vos prix vers le bas! Enfin et surtout pour nombre de places de marchés, les internautes qui achètent vos produits via leur plateforme ne sont pas considérés comme vos clients mais comme les leurs. En créant votre propre eboutique sur un nom de domaine qui vous appartient et en déposant éventuellement une marque vous capitaliser du référencement, de l’e-réputation, de la notoriété, bref vous donnez de la valeur à votre entreprise.
Autrement dit, votre stratégie doit être non pas seulement de faire de la vente en multicanal mais plutôt de faire de l’acquisition en multicanal, chaque vente sur les places de marché doit être considérée comme une occasion de développer votre e-réputation et de booster les ventes sur votre e-boutique où vos marges sont les plus importantes.

« Ok vous m’avez convaincu mais de façon concrète quel outil suggérez-vous d’utiliser pour vendre en multicanal ? »
Et bien je ne vais pas m’en cacher, si j’ai une vision si tranchée sur la bonne façon de lancer un ecommerce c’est que je me suis penché de très près sur la question et pour cause, j’ai rejoint il y a un peu plus d’un an une startup innovante du secteur. Il s’agit de Facilecomm, une société proposant un ERP ecommerce multicanal en mode SAS.
« Un quoi ? » Un ERP , c’est un logiciel qui va vous permettre de gérer l’ensemble de vos problématiques métiers depuis un seul outil. En l’occurrence Facilecomm vous propose de répondre à l’ensemble des problématiques liées à la vente en ligne :
·        Gestion d’un catalogue produit 100% compatible avec les marketplaces
·        Gestion des médias
·        Gestion de la facturation
·        Gestion des expéditions et du suivi colis
·        Gestion de la relation client
·        Gestion d’une eboutique
·        Gestion des markeplaces (eBay, Amzaon, Priceminister)
·       


Si j’ai décidé de m’investir dans ce projet c’est que sa proposition de valeur et son modèle économique correspondent tout à fait aux besoins des e-commerçants d’aujourd’hui que nous avons exposé précédemment dans cet article. Cela n’a rien d’étonnant puisque le projet Facilecomm a été créé par un e-commerçant pour les e-commerçants.
La vision du fondateur Marc Hericher est de doter l’ensemble des e-commerçants d’outils professionnels, habituellement réservés aux grands comptes, pour qu’ils puissent faire de l’acquisition clients sur les marketplaces (Facilecomm ne prend aucune commission sur les ventes générées sur les marketplaces) tout en développant leur propre e-boutique pour un investissement limité (moins de 1000€ et des commissions mesurées et dégressives sur les ventes du site ), site qu’ils pourront bien entendu faire évoluer au fur et à mesure du développement de leur activité.
Concrètement comment cela se passe-t-il pour un e-commerçant souhaitant utiliser Facilecomm ?
Et bien après s’être inscris sur la plateforme, le marchand doit créer son catalogue au moyen d’un gestionnaire de produits évolué. Celui-ci, fruit de plus d’un an de Recherche et Développement permet de créer un catalogue qui soit nativement compatible avec les principales places de marché en un minimum de temps.
Une fois cette étape centrale réalisée, le marchand peut en un clic choisir quel produit il veut vendre sur chacun de ses canaux de vente (son site, et les différentes places de marché) au prix de son choix. Il n’a alors plus qu’à piloter l’ensemble de son activité depuis une interface unique sans avoir à se connecter sur les backoffices des places marchés.

Gérer ses stocks depuis un seul outil pour vendre en ligne

Source : http://www.facilecomm.com/stock-e-commerce-gerez-ses-stocks-une-problematique-centrale-pour-la-vente-en-ligne-en-mode-multicanal



Cette approche proposée par Facilecomm permet donc aux porteurs de projet e-commerce d’être opérationnels très rapidement en multicanal et de commencer à générer du chiffre d’affaire au plus vite sans investir massivement dans la technique (ou le design), grâce à son business model qui mixe abonnement et commissions modérées. 
De cette façon, des porteurs de projets ayant des budgets limités peuvent tout de même se lancer et ceux dotés de moyens financiers plus importants peuvent réallouer une partie de leur budget initial, mais aussi de leur temps, en Marketing (faire de la publicité pour booster les ventes) ou en Achat (commander davantage de volumes pour bénéficier de remises et pouvoir vendre moins cher que la concurrence ou augmenter vos marges) afin d’accélérer le décollage de leur activité. Ajoutez à cela les économies de personnels que cet outil globalisé peut vous permettre de réaliser (certains e-commerçants utilisant Facilecomm expédient jusqu’à 800 colis/jour avec seulement 3 personnes) et vous comprendrez vite l’avantage concurrentiel dont vous pourrez bénéficier. 
Clairement, se lancer directement en multicanal au moyen d’une technologie performante en SAS me semble le Business Model le plus pertinent pour un ecommerçant en 2013 !
Et vous e-commerçants et porteurs de projets, que pensez-vous de cette approche ?



17 juil. 2012

Entrepreneur autodidacte VS entrepreneur diplômé


entrepreneur diplomé ou autodidacte

Rassurez vous,cet article n’a pas pour but de vous démontrer de façon manichéenne la différence entre le bon chasseur entrepreneur web et le mauvais chasseur entrepreneur web… Nous dégagerons plutôt ici les deux profils types d’entrepreneurs présents sur Internet afin d’identifier leurs points forts et lacunes respectives.

L’entrepreneur diplômé



entrepreneur diplomé

Généralement (fraîchement) diplômé d’une (grande) école de commerce ou d’ingénieur, l’entrepreneur diplômé est assez ambitieux… Il veut changer le monde avec sa startup et imagine généralement un projet innovant qui va nécessiter un temps certain de développement.

Bien au fait des obligations légales il créé sa structure, mieux vaut anticiper la levée de fonds et fonder directement une SAS, ce sera plus simple pour faire rentrer des investisseurs le moment venu…

Il possède des CGV en béton armé qu’il a soigneusement fait rédiger par un avocat ou au moins relire par son prof de droit ou qu’il a savamment pomper décliner sur un site concurrent ou à l’activité relativement similaire…

Il a conscience de l’importance du marketing et a fait réaliser un logo soigné afin de faciliter la création d’une marque forte… d’ailleurs, il fait de son mieux pour faire connaitre son produit dans l’écosystème des startups témoignant sur les blogs high tech, participants aux apéros et autres “events" hype” y compris si son produit ne cible pas du tout cette population…

Il a beaucoup de bagou, présente bien, est sûr de lui : c’est pour cela que son banquier lui a prêté de l’argent pour lancer son projet… c’est un peu pour cela qu’il a réussi à lever des fonds alors qu’il n’a pas encore commencé à réaliser de chiffre d’affaire ( enfin aussi parce qu’il avait l’appui de son réseau d’anciens élèves un peu…)

D’ailleurs son idée de départ n’était pas forcément la bonne, il pivote souvent l’entrepreneur diplômé…
Mais il a confiance en lui il tient bon, et puis il a beau ne pas être modeste il est intelligent et il apprend… petit à petit il comprend que le marketing c’est bien mais que le commercial c’est indispensable…

Il comprend désormais qu’il faut revenir aux bases que sont le contenu et le référencement s’il veut que son projet soit visible sur le web…

L’entrepreneur autodidacte

entrepreneur autodidacte

L’entrepreneur autodidacte sur Internet est un Geek… On parle de geeks à toutes les sauces désormais mais l’entrepreneur du web qui est autodidacte en est un beau spécimen ! C’est un passionné : soit de code soit de référencement (ou au moins de contenu)…

Il n’a pas pour ambition de changer le monde… Au départ d’ailleurs il faisait ça comme ça pour voir, pour s’amuser… et puis petit à petit son site, ses sites? ses blogs? ont cumulé de l’audience… Et puis si adsense  lui rapportait 3 cacahuètes au début, cela a fini par lui rapporter un demi smic chaque mois,  alors il a commencé à se poser la question… "tiens finalement si je ne faisais plus que ça?"
De toute façon il ne sait pas trop comment il va déclarer ces revenus aux impôts donc il faut faire quelque chose… il se met en auto-entrepeneur ou en entreprise individuelle…

Et puis telle une machine, à la sueur de ses aisselles de son front (le geek est sale et repoussant ^^) il a continué sur la longue traine à cumuler du trafic en rédigeant inlassablement du contenu ou en réalisant des mashups en scrollant des bases (big data avant l’heure ?) à trouver des astuces SEO plus ou moins grey Hat, il a constitué un maillage de liens, véritable trésor de guerre, qui ont pérennisé son audience…

Mais bon il est un peu coincé avec son adsense parce que son design ne fait pas rêver les annonceurs, pas plus que certaines de leurs thématiques un peu bordeline, ont est bien loin d’un média “marque”… d'ailleurs il n'a même pas de mentions légales...

Alors pour voir toujours, il s’essaie à l’affiliation… Pas juste la fameuse méthode pour vendre une méthode… de l’affiliation intelligente, de l’affiliation produit et effectivement cela augmente encore ses revenus mais il se dit qu'il pourrait gagner plus en vendant lui même ses propres produits…

Il n’a pas fait d’étude mais il n’est pas bête, il apprend… il se dit qu’il devrait peut-être penser désormais de façon moins opérationnelle et réfléchir un peu plus à son marketing, à créer un nouveau projet plus propre avec une marque et tout… d’ailleurs il se dit qu’il est peut être temps de sortir de sa grotte de l’ombre et prend note du prochain “event hype”…
  • Quelles leçons tirer de ces deux caricatures ?
Bien entendu cela fait un peu cliché mais pour côtoyer beaucoup d’entrepreneurs via ce blog, les events hype auxquels je participe, ou en tant que Responsable Editeurs de la Régie SublimeMédia, ces stéréotypes ne sont pas si loin de la réalité ! L’entrepreneur web parfait est celui qui arrive à mixer stratégie et tactique, c’est à dire l’entrepreneur qui parvient à réfléchir à longs termes tout en investissant dans l’opérationnel, qui se soucie autant du commercial que du marketing, qui n’oublie jamais les bases que sont le contenu et le référencement tout en veillant à perpétuellement renforcer sa marque…

Et vous quel type d’entrepreneur êtes vous?




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